dimanche 24 avril 2011

Mairie d'Ivry

huile/toile
120 x 60

4 commentaires:

  1. Les rythmes,les masses,la dominante
    L'équilibre
    La musique
    Ta peinture,je ne veux pas
    m'en défaire
    J'y suis bien

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  2. Je vis un drame. J'aimerais tellement voir cette toile dans ma chambre !!!! J'ai compté. Ca va ! Mais voilà.... Le samedi 11 je ne suis pas à Paris. Ma petite filleule fait sa première communion à Amiens... Or tous les visiteurs de samedi prochain au marché de la création sont de potentiels acheteurs... Ce qui est normal pour un visiteur normalement constitué : il est obligé de craquer devant une toile pareille... Alors je vis le drame... D'autre part, je n'ai pas demandé à l'auteur si le paiement en plusieurs fois était possible... le drame, je vous dis... j'imagine un acheteur qui découvre cette toile et l'achète cash, crac : le drame... mais ce n'est pas le pire... Manuel Leonardi expose ses dessins samedi prochain. Or, si vous avez bien suivi, ma filleule fais sa première communion ce même samedi... donc je suis privé de dessins... Comprenez vous le drame que je vis ??? Les dessins reviendront ils le samedi d'après... rien n'est moins sur... le drame quoi !!!

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  3. Ca y est. La toile est dans ma chambre. Elle ne s'est pas tout de suite sentie bien. A ma grande surprise (et même terreur...) les éléments, routes, immeubles, ne rendaient rien de cohérent sur mon mur. Et puis, doucement, calmement, la toile (vraiment grande) pour ma chambre de 8m2 a pris possession du mur et a proposé, une image cohérente d'une très grande puissance. Voilà la perspective en place avec son dynamisme et surtout l'infinie richesse de ses détails qui l'un après l'autre apparaissent et font sens. Je reviens dans quinze jours au marché de la Bastille pour continuer d'admirer une création à l'œuvre... A bientôt.

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  4. Chaque jour cette toile me parle. Toujours un mot gentil et différent. Toujours une découverte, un mouvement encore inaperçu, une vibration du bitume qui sourd un soir et disparaît au matin, une petite voiture cachée dans un éclair blanc, au cœur lointain de la toile, un détail dans la façade monumentale des immeubles, la lenteur des nuages qui s'étirent avec nonchalance... chaque jour la musique infinie de la toile porte le regard et le renouvelle. Merci Léo.

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