vendredi 29 mai 2009

Anne à l'arrache et Julie pas finie







dimanche 24 mai 2009

tant bien que mal

lundi 18 mai 2009

Julie

Batgirl

vendredi 15 mai 2009

Bidons, tubes


faut qu'ça dégouline

dimanche 10 mai 2009

Adeline otant ses atours

On va pas rester là dessus

samedi 9 mai 2009

Ma paroisse


Rue de seine, il pleut.

Je vais aujourd'hui, prècher pour ma paroisse.
En parcourant le net, curieux, à la recherche de nouveaux peintres,
je rencontre
pleins de tableaux que j'admire avec gourmandise,
tant par le sujet, que les couleurs.

Ce sont à chaque fois des tableaux représentant la ville,
ou le monde moderne
et ses caractères éminents,
(autoroutes, aeroports, parkings, trains, gares, foules, etc).
Je bave. Le hic,pour moi, c'est que d'origine, je me suis bati avec l'idée profonde
que l'interet de la peinture et son évolution, résidait dans la traduction
de ce que je voyais en direct, et que tous les problèmes que je rencontrais pour y arriver,faisaient partie du résultat attendu, et du témoignage plus
ou moins important que l'homme laisse à ses prochains.

Or, tous ces beaux tableaux que je rencontre, sont la plupart du temps
fabriqués d'après des photos. Et là, ça pèche.
D'un point de vue èsthétique, je reconnais les possibiliés fantastiques
du travail en atelier. Et s'aider de toutes les techniques possibles pour faire
des images toujours plus fantastiques, mystèrieuses, séduisantes,
faudrait etre benèt pour se l'interdire, n'est ce pas?
Mais humainement ça fait quoi à la comprenette?

Il m'est évidemment arrivé à mon tour de travailler d'après photos,
et je le ferai surement encore, peut etre demain mème.
Mais j'aimerais de temps en temps le rappeler, c'est l'oeil humain et toute
la machinerie ,du cerveau à la main en passant par les émotions ,
qui doivent servir à créer des images, je veux dire celles qui vont participer
à notre évolution.
C'est notre rapport au monde, qui s'écrit quand nous y allons
de nos coups de crayons ou de brosses
.
Bien sur, ça fait un peu curé d'un autre age, tout ce petit discours.
M'en fous, je le pense.

Je reste modeste. Dans la catégorie peintre, je suis très bas dans l'échelle de niveau,
mais je revendique la main tendue, aux peintres qui
nous ont plus qu'ému,parce qu'il faisait quelque chose en plus
que de l'effet.

L'entre cuisse des villes

J'étais très fier du titre

jeudi 7 mai 2009

Quelques pinceaux en attendant

et des tubes

mercredi 6 mai 2009

A lisant

les seins nus